Une bonne mastication, suffisamment lente, conjuguée à d'autres facteurs, a un effet satiétogène (plus vous mâcherez, moins votre prise alimentaire sera importante, ce qui favorisera le contrôle pondéral – voir plus bas). Elle permet d'optimiser l'assimilation des nutriments en facilitant le travail des organes en aval de la bouche (estomac, intestin grêle, pancréas, foie).

Vous êtes stressée, anxieuse, voire déprimée ou dépressive?  Vous vous sentez constamment fatiguée?  Céphalées, migraines, brouillard mental, troubles de la mémoire?  Hypoglycémie, hypo/hypertension, douleurs articulaires et/ou musculaires, faiblesse musculaire, perte ou prise de poids, rétention d'eau, gonflements des mains et des pieds? Vous avez des inconforts digestifs (reflux gastriques, diarrhées, constipation, ballonnements, gaz, intestin irritable ou poreux...)?

Et si notre assiette parlait autant à notre corps qu’à notre esprit ? La psychonutrition s’intéresse justement à ce lien passionnant entre alimentation et bien-être mental. Car ce que nous mangeons ne sert pas uniquement à nourrir nos muscles ou nos organes : cela impacte aussi notre énergie, nos émotions et même notre façon de réagir au stress. À l’inverse, nos humeurs, nos habitudes de vie et notre état psychologique influencent nos choix alimentaires.